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   Regard conscient sur… la politique


Nombre de mises en scènes collectives ont pour cadre le champ politique. Comment interpréter les dynamiques inconscientes qui les motivent ? Quels rôles attribuons-nous à nos dirigeants ? Des réflexions pour comprendre l’évolution de la psyché humaine.

Les phénomènes transgénérationnels : comment nous touchent-ils ?
Que nous le voulions ou non, les traumatismes transgénérationnels s’invitent quotidiennement à la table de notre vie. Lorsque nous persistons à les nier, ils pénètrent chaque fibre de notre être, mais à l’inverse diverses approches thérapeutiques permettent d’en minimiser l’impact. Témoignage d’une Juive ukrainienne russophone devenue neuro-psycho-éducatrice, dont les ascendants furent victimes de pogroms.
(11/2023)
Les âmes blessées des anciens pensionnaires d’internat
En Grande-Bretagne et dans le monde anglosaxon, les internats privés ont forgé le caractère des élites depuis plus de cent-cinquante ans. Fondées sur la rupture délibérée de l’attachement parental et un régime rigide de socialisation forcée, ces institutions génèrent des traumatismes à long terme.
(10/2022)
Existe-t-il une tradition de Pédagogie noire en Russie ?
Obéissance aveugle et dévotion à leurs maîtres, sacrifice de soi et haine de l’ennemi, préparation militaire et pression par les pairs faisaient partie du quotidien des écoliers élevés sous le régime soviétique. Cette génération tient aujourd’hui le sort de la Russie entre ses mains. Dans quelle mesure cette réalité peut-elle rendre compte de la tragédie actuelle et de la situation des Droits humains dans ce pays ?
(09/2022)
Que savons-nous sur l’enfance de Vladimir Poutine ?
Marqué par le vécu traumatique de ses deux parents, qui ont survécu au siège de Léningrad et perdu deux fils en bas âge, l’actuel président de Russie s’est projeté dans le rôle d’un sauveur. Il a canalisé son agressivité en pratiquant les arts martiaux, dont il fit le principe de son rapport aux autres. Ancienne victime de violences et désormais rompu aux manipulations du pouvoir, il est devenu l’agresseur identifié à la figure d’un père autoritaire.
(06/2022)
Perspective psychohistorique sur l’autoritarisme et la démocratie : la Pologne après 2015
Cet essai aborde le glissement politique vers la droite de la Pologne après 2015. Les caractéristiques spécifiques des systèmes autoritaires y sont explorées dans une perspective psychohistorique, comme l’abolition d’un système judiciaire indépendant, la fusion entre le gouvernement et l’église ou les restrictions des médias publics.
(06/2022)
Violences religieuse : une réalité paradoxale ?
Le phénomène inquiète jusqu’aux plus hautes instances de l’Organisation des Nations unies qui dénonce un débordement de violences fondées sur la religion. Les dynamiques psychotraumatiques conduisant à de tels extrêmes restent pourtant mal comprises. Elles sont ancrées dans le déni de la sensibilité naturelle des enfants, soumis dès leur naissance à la rigueur d’un carcan doctrinal qui les détourne de leur nature profonde.
(09/2021)
Marc-André Cotton au Forum de l’enfance libre
Ceci est une transcription de notre rencontre virtuelle avec Marc-André Cotton au Forum de l’enfance libre, le 10 avril 2020. Marc-André nous avait fait parvenir un long document qui reprenait les différents thèmes que nous souhaitions aborder. Ce document contenait des éléments qui n’ont pas été traités pendant l’interview. De plus, notre interlocuteur s’est étendu plus longuement sur d’autres sujets. Nous avons donc préparé une « version augmentée » de cette rencontre qui, nous l’espérons, donnera une vue encore plus complète des thèmes abordés.
« Fake news » ou l’emprise du mensonge parental
Disparu il y a soixante-dix ans, George Orwell n’aurait pas désavoué le déluge de « fausses nouvelles » qui submerge nos réseaux sociaux. Son roman le plus célébré, 1984, dépeint un univers totalitaire qui semble préfigurer le destin de nos sociétés ultra connectées. C’est pourtant son propre vécu d’enfant offensé qui lui inspira des concepts aussi expressifs que le novlangue ou la double pensée avec lesquels il tenta de cerner les manipulations dont il fut la victime.
(07/2019)
Le douloureux héritage de Donald John Trump (2)
Mary Ann MacLeod, mère de Donald Trump, était une immigrante qui fuyait la misère de son Écosse natale. Sa folie des grandeurs compensait une enfance marquée par l’isolement, les privations et la morosité. Une incursion dans le vécu occulté de la lignée maternelle du 45e président américain.
(08/2018)
Le douloureux héritage de Donald John Trump (1)
Ce premier article dévoile de quelle manière le 45e président des États-Unis s’est construit en réaction aux humiliations de son père et ce que son personnage manifeste aujourd’hui du vécu occulté de sa lignée paternelle. Un prochain texte s’intéressera à la lignée de sa mère.
(05/2018)
Conférence : Trump et nous, une approche psychohistorique
La personnalité de Trump irrite ou fascine, son caractère imprévisible génère l’anxiété. Peut-on comprendre ce qui le motive sur un plan personnel et les réactions qu’il suscite en nous ? Y a-t-il des raisons à son irascibilité ? En revenant sur son histoire, nous verrons l’importance des traumatismes de l’enfance et le poids des héritages familiaux. Nous tenterons de comprendre les origines profondes de sa misogynie et de son inextinguible quête de pouvoir.
(04/2018)
La psychohistoire
Si l’on en croit les recherches des psychohistoriens, l’enfance est une période déterminante dans la construction d’une personnalité ; elle explique le destin de nombre de sociétés et de civilisations. De ce fait, elle doit être prise au sérieux.
(09/2017)
Brexit et violences éducatives, un lien ignoré
En Grande-Bretagne, une fracture entre « valeurs » a opposé les pro- et les anti-européens, d’après une analyse psycho-démographique effectuée dans le cadre du vote sur l’Europe. Pressés par une anxiété grandissante, les Britanniques ont basculé vers la rupture, illustrant l’impact ignoré des traumatismes de l’enfance sur leur perception de la situation du pays.
(02/2017)
L’homme est-il un loup pour l’homme ?
Le mythe de la cruauté innée de l’homme a été forgé au XIXe siècle. Selon de récentes recherches anthropologiques, les origines de la violence et de la guerre remonteraient aux débuts de l’agriculture et de l’élevage. De nombreux exemples montrent au contraire que nos ancêtres préhistoriques pratiquaient l’altruisme.
(10/2016)
Attentats de Paris : au coeur du traumatisme
Ce que nous ont montré ces jeunes Français d’origine arabe, c’est l’horreur du déni fait à leur conscience depuis leur conception même. Un regard, non pas fou, mais vidé de toute sensibilité humaine par des siècles de répression subie à travers les générations.
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11/2015)
En Grèce : crise de la dette et souffrances périnatales
Alors que ce pays vient d’accepter un troisième plan de sauvetage de son économie, des éléments empiriques suggèrent que les Grecs et leurs partenaires européens remettent en scène un douloureux processus de naissance. La psychologie périnatale et le concept psychohistorique de « contraction du temps » apportent un éclairage inédit sur la crise de la dette grecque.
(10/2015)
Du sacrifice de soi au sacrifice de l’autre dans la politique de la famille Bush
La biographie du quarante-troisième président des États-Unis, George Walker Bush, illustre ici les mécanismes par lesquels les adultes inculquent aux enfants des « valeurs » issues de leur propre adaptation à la violence éducative et les enferment dans la reproduction de schémas de comportement douloureux. Une analyse indispensable à l’heure où un troisième Bush se présente comme un candidat républicain potentiel à l’élection présidentielle de 2016.
(07/2015)
Quand l’ombre de la Seconde Guerre plane sur l’Europe
Dans le conflit ukrainien toujours en cours, la transmission générationnelle de souffrances familiales non résolues est la cause de mises en scène parfois tragiques laissant penser que l’Histoire se répète. La compréhension de ses mécanismes permet d’envisager une autre issue et montre l’importance d’un travail de conscience.
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07/2015)
« Choc des civilisations » ou séquelles d’un rapport destructeur à l’enfant?
Les récentes tueries de Paris et de Copenhague montrent que les conséquences délétères de la maltraitance doivent être mieux prises en compte dans nos sociétés multiculturelles et faire l’objet de mesures préventives auprès de toutes les communautés concernées.
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04/2015)
Défendre le droit à la psychothérapie : un combat très actuel
En France, la psychothérapie est en crise et le point de vue de la psychohistoire intéresse les praticiens. Une bonne raison de faire connaître notre champ de recherche aux thérapeutes.
(01/2015)
Dynamiques collectives et problématiques individuelles
Atelier de psychohistoire présenté au congrès « Identité et appartenance » de la FF2P.
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01/2015)
La tentation autoritaire, une réponse forgée dès l’enfance
La poussée de l’extrême droite en Europe se comprend en relisant les études d’Adorno, un philosophe de l’École de Francfort ayant fui le fascisme avant la Seconde guerre mondiale. Il démontra avec rigueur que l’absence de dialogue entre parents et enfants contribue à la formation de la personnalité autoritaire et au succès des idéologies populistes.
(12/2014)
Violences éducatives et champ social
La répétition de situations victimisantes est l’une des causes majeures des violences perpétrées sur autrui. Plus particulièrement, les traumatismes « éducatifs » sont reproduits compulsivement et rendent leurs victimes vulnérables aux manipulations du pouvoir.
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07/2014)
Mouvements sociaux : le manque de maternage envahit le champ politique!
Une société qui prône la séparation de la mère et de l’enfant s’expose à de funestes conséquences. La fronde antifiscale qui gronde en France est là pour rappeler que le système de protection sociale n’a pas pour vocation de compenser une insécurité relationnelle vécue dans la prime enfance.
(04/2014)
Des droits de l’enfant à la reconnaissance de sa conscience
Le Mouvement pour une reconnaissance des droits de l’enfant à largement contribué à l’amélioration des conditions d’existence des plus jeunes, partout dans le monde. Aujourd’hui cependant, nous devons reconnaître à l’enfant sa dimension d’être conscient, plus proche de sa nature que ne le sont les adultes.
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01/2014)
Une terreur milllénaire
Depuis des siècles, les adultes utilisent la terreur de l’abandon et de la mort pour manipuler le comportement des enfants et tenter ainsi de gérer l’expression de leurs propres traumatismes refoulés. Sans le reconnaître et à diverses échelles, ils remettent ainsi en scène le pouvoir absolu que les Anciens exerçaient brutalement sur leur clan et sur leur progéniture au nom d’un pouvoir patriarcal millénaire qui étaye encore largement les structures des sociétés humaines.
(01/2014)
Moraliser la vie politique ? Une affaire de famille !
En France, les débats sur la Loi sur la transparence de la vie publique montrent que les schémas relationnels subis dans la famille sont remis en scène jusque dans la sphère politique. Une raison d’accorder à nos enfants toute l’attention que requiert l’épanouissement de leur sensibilité.
(10/2013)
Un autre point de vue sur l’homme et sur le monde : les journées de la psychohistoire
Le 36e Congrès de la psychohistoire s’est tenu à New York, les 5-7 juin derniers. Une palette de chercheurs ont confronté leurs réflexions sur les origines de la violence humaine. Et Peps y a été présenté !
(10/2013)
De la violence éducative aux mises en scène du pouvoir
La politique américaine est le prolongement d’un système éducatif punitif dont les séquelles débordent largement le cadre national. Quelques pistes pour comprendre comment les violences infligées aux enfants génèrent les guerres.
(
04/2013)
Dérives de la psychologie américaine
La collaboration de psychologues dans la guerre contre le terrorisme menée par l’administration Bush a soulevé l’indignation, notamment du fait de leur implication dans les tortures d’Abu Ghraib ou de Guantánamo. Pourtant, les spécialistes du comportement ont longtemps été applaudis pour leurs recherches parfois douteuses visant à conditionner le cerveau humain.
(
03/2013)
En Suisse : une éducation au consensus
Le « consensus helvétique » est la conséquence politique de sévères exigences éducatives infligées à la conscience spontanée de l’enfant. Les souffrances relationnelles qui en découlent sont à l’origine d’un mal-être social récurrent. Dans la vie politique du pays, ce dernier se traduit notamment par la recrudescence d’un courant nationaliste et xénophobe.
(
03/2008)
Les femmes et la psychothérapie
Le dernier projet de décret ministériel sur la réglementation des psychothérapies menace l’exercice de plusieurs milliers de psychothérapeutes compétents, parmi lesquels trois quarts de femmes.
(12/2006)
Conscience et petite enfance
Humiliées dans leur dimension de mères, les femmes ne réalisent pas le leurre que constitue un comportement maternel séparatiste promu par toutes les politiques de la petite enfance.
(
12/2006)
Guillaume Tell, une illusion fédératrice
Le mythe helvétique galvanise une compulsion collective à humilier et à soumettre les enfants. L’identification au héros vengeur condamne la réalisation de la conscience.
(
02/2006)
Le feu des banlieues
Les violences parentales, dont la circoncision rituelle, font le lit des émeutes urbaines, au cours desquelles les jeunes mettent en scène le viol de leur intégrité. Sur cette mutilation condamnée par le Code civil, les autorités restent étrangement silencieuses.
(01/2006)
Le « non » humilié de l’enfant
L’interprétation destructrice que les adultes infligent à l’expression de la vie de l’enfant est manifeste dans le mépris des élites européennes pour le « non » populaire au Traité constitutionnel.
(06/2005)
Pour qui libéraliser les services ?
En consacrant le libéralisme économique, la Constitution européenne offre à l’élite bourgeoise une sensation de liberté qui ruine le monde.
(
04/2005)
Médias : une vitrine de la souffrance bourgeoise
Derrière la présentation luxueuse d’un magazine économique apparaissent les mécanismes de reproduction sociale de la souffrance des classes dirigeantes.
(
04/2005)
La bourgeoisie triomphante
L’idéal bourgeois envahit le monde sur la base d’un profond sentiment de nullité posé sur la nature de l’enfant.
(
03/2005)
Le fantasme de la liberté (2)
L’aspiration à des « libertés » est un aménagement de la bourgeoisie qui entrave le processus naturel de libération actif en chaque être humain. En focalisant les populations sur leurs « droits », celle-ci les compromet dans des rôles qui lui assurent pérennité et pouvoir.
(03/2005)
Protéger l’intégrité de la vie
L’action de protéger nécessite une présence qui ne peut souffrir de préoccupations constantes. Le cas échéant, la protection n’est plus qu’intermittente, relative, voire enjeu de pouvoir.
(01/2005)
Les coulisses de la démocratie
Les promesses qui ont dynamisé la mise en place des systèmes démocratiques avaient pour fonction inconsciente de dissimuler la persistance de structures politiques coercitives.
(
11/2004)
Le fantasme de la liberté (1)
Pour le maintien de la structure de pouvoir, il faut que les citoyens croient en un droit légitime de choisir. Mais lorsqu’on est encore apte à sentir, la vie ne se définit pas en ces termes.
(11/2004)
Les démons de l’Amérique
Les citoyens laissent à leurs représentants le pouvoir de manipuler une anxiété collective dont ils refusent de reconnaître l’origine dans leur enfance. La réélection confortable de George W. Bush illustre cette réalité inconsciente.
(
10/2004)
Pour résoudre l’antisémitisme
Toute projection des causes de nos souffrances sur un support, en l’occurrence le comportement juif, manifeste l’interdit de prendre conscience de l’existence même de notre problématique.
(08/2004)
Sionisme : les conditions d’une apocalypse en Palestine
En projetant sur l’avenir des terreurs d’anéantissement issues de leur passé refoulé, les sionistes participent à créer les conditions d’une apocalypse au Proche-Orient. Ils confient à leur hiérarchie politique le rôle de conduire le rejouement de leurs souffrances, au mépris de ceux qu’ils prennent comme supports de leur problématique non résolue.
(
08/2004)
Vie privée, vie publique
Les hommes ont divisé et donc régenté la société selon un critère qui n’est jamais remis en cause. Leur rapport aux femmes et aux enfants dépend de ce qu’ils rendent public ou persistent à taire dans la sphère privée.
(06/2004)

L’origine du mensonge dans la terreur familiale
Les idéologies politiques ont recours au mensonge pour justifier le rejouement de la terreur familiale à l’échelle collective.
(03/2004)

Le droit et le non-droit
Le Pouvoir, pour conserver son emprise, doit considérer les manifestations de la souffrance humaine comme une maladie, les condamner comme une faute et les sanctionner.
(
02/2004)

La France a peur de ses souffrances !
En silence et dans l’ignorance quasi-générale, le Parlement français veut normaliser l’exercice de la psychothérapie. Cette décision est un exemple qui montre comment les humains peuvent renforcer la cuirasse défensive qu’ils opposent à leur libération.
(
11/2003)

Sacrifiés au nom du Père
L’inspiration religieuse qui justifie de passer à l’acte sur l’enfant prend sa source dans la terreur infligée par le père. À travers la hiérarchie sociale, cette dernière acquiert une dimension politique.
(
07/2003)

Une guerre menée contre l’intégrité des consciences
Les gouvernements utilisent nos terreurs refoulées pour justifier les guerres. Ils manipulent la part non réalisée en chacun.
(
06/2003)

L’Amérique, un rejouement planétaire
Les Puritains américains imposent au monde les conséquences de leur histoire non-résolue. La tragédie irakienne est une terrible remise en scène justifiée par l’aveuglement de ses protagonistes.
(
04/2003)

Libres comme Sarkozy ?
En dépit des protestations de la gauche, les Français plébiscitent un ministre de l’Intérieur qui veut les replonger dans l’univers carcéral de leur enfance. Mise au point sur les origines inconscientes de cette stratégie répressive.
(
12/2002)

L’attentat…
À peine un mois après la victoire l’UMP aux élections législatives de juin dernier, le chef de l’État français est la cible d’un attentat manqué. Un tel incident revêt une signification particulière lorsqu’on s’intéresse à la vie émotionnelle d’une nation.
(
07/2002)

Présidentielles : une nation sous terreur
Le « sursaut républicain » du second tour des présidentielles françaises sanctionne un retour aux valeurs d’ordre. Longtemps refoulée, la peur suscitée par l’émergence de v
aleurs nouvelles engendre l’attente d’une répression.
(
06/2002)

Les racines de la corruption politique dans l’enfance
Les affaires politico-financières de la Vème République expriment l’émergence sur la scène publique de sentiments de souillure issus de l’enfance.
(
05/2002)

Les jeunes, boucs-émissaires du sentiment d’insécurité
Les responsables politiques ont fait de la sécurité l’axe majeur de la campagne des présidentielles. Les jeunes en situation de précarité font les frais d’un amalgame qui les rendent responsables du malaise ambiant. Pour se rassurer, le citoyen qui vit dans la crainte votera en faveur d’un « père » qui contrôle et normalise.
(
02/2002)

Terrorisme et mutilations : le monde saisi d’effroi
Les attentats du 11 septembre 2001 seraient-ils l’expression extrême des violences infligées de par le monde à l’intégrité génitale des enfants ? Une telle hypothèse semble plausible, si l’on considère le symbolisme des cibles choisies par les terroristes.
(01/2002)

L’invisible ennemi de l’Amérique
La nouvelle guerre américaine est en phase avec l’état émotionnel de la nation.
(
09/2001)

Pourquoi Pétain renversa la République
Quelles sont les motivations inconscientes qui – au cours des années précédant la guerre – conduisirent une partie de la nation française à envisager favorablement un rapprochement avec Hitler et à accepter les conditions d’un armistice humilant ?
(
08/2001)

Comment on crée l’opinion
Le Pouvoir entretient valeurs et croyances dans le but de maintenir la population dans un état émotionnel propice à la formation d’une opinion publique exploitable.
(
06/2001)

Ce pouvoir qui nous tient
Le Pouvoir est souvent considéré comme ayant une existence particulière. Chacun s’applique à ne pas réaliser de quelle manière il contribue à sa formation.
(
04/2001)

La délation, une psychopathologie
L’acte de délation n’est pas une composante ordinaire de la nature humaine. Il intervient dans des périodes troublées, au cours desquelles des sentiments d’insécurité et de peur font resurgir d’anciennes souffrances.
(
04/2001)

Violences contemporaines (3) : l’ordre social se maintient par la culpabilisation et la peur
La terreur intériorisée par l’enfant face aux adultes constitue la base psychologique de la domination sociale.
(
10/1998)